pays dangereux


A l’évidence, éviter les zones de conflit

En Suisse, nous avons notre DFAE. En France, c’est le ministère des Affaires étrangères qui met régulièrement à jour sa carte du monde nommée « conseils aux voyageurs ». En la comparant avec les recommandations prodiguées dans d’autres pays du monde, le quotidien Ouest France constate que l’échelle de dangerosité peut varier selon les sites officiels.

Comme on pouvait s’y attendre, en Grande-Bretagne, le Foreign and Commonwealth Office (FCO) bannit l’Irak, la Syrie, la Libye ou la Somalie. D’autres sont déconseillés : l’Inde (frontière avec le Pakistan), le Japon (autour de Fukushima) ou la Russie (Crimée non reconnue et Ossétie). Pour l’anecdote, la Corée du Nord est en vert. Très peu de ressortissants britanniques visitent cette dictature, et ils font généralement partie d’un voyage organisé. Donc – pour les sujets de Sa Gracieuse Majesté –  no problem chez l’honorable Kim Jong-un !

Les Français, eux, classent l’ensemble du Brésil en « vigilance renforcée » et déconseillent carrément le nord-ouest, du fait de « l’insécurité liée au narcotrafic et à divers mouvements insurrectionnels. »

Seriez-vous prêt à braver ces directives ?