passagers en folie

Tout peut arriver dans l’aviation commerciale

Les aéroports du monde et les compagnies d’aviation en voient des vertes et des pas mûres. Jugez plutôt :

Amis à plumes

Fin janvier 2018, une femme a tenté d’emmener un paon à bord d’un vol United Airlines entre l’aéroport de Newark et Los Angeles, affirmant que l’oiseau était un «soutien émotionnel».

Retraitée clandestine

Une femme de 66 ans a réussi à voler de Chicago à Londres sans billet ni passeport.  La femme se serait cachée derrière d’autres passagers afin de contourner la sécurité pour monter à bord d’un vol British Airways à Chicago, mais a été arrêtée à la frontière britannique, rapatriée aux États-Unis et arrêtée. Ce n’était pas sa première infraction.

Sécher en l’air

En février, une passagère à bord d’un vol Ural Airlines entre la Turquie et la Russie a été vue en train de sécher ses sous-vêtements sur les bouches de climatisation de l’avion.

Fatale orthographe

Une femme de 65 ans a fait boucler une partie de l’aéroport de Brisbane en avril après avoir écrit les mots «Bomb to Brisbane» sur ses bagages. La femme, qui voyageait de Mumbai, avait écrit par erreur «Bomb» plutôt que «BOM», le code de l’aéroport de Mumbai.
Maman, j’ai pas raté l’avion !  

Un garçon de 12 ans de Sydney a réussi à faire un voyage en solo à Bali en avril, après avoir volé la carte de crédit de ses parents pour payer des vols et un hôtel, voyageant à Perth puis en Indonésie.

Le rat sort du sac

Un passager de l’Arkansas qui a perdu ses bagages après avoir pris un vol d’American Airlines s’est fait renvoyer son sac cinq jours plus tard. Il y a trouvé un cadavre de rat. La compagnie aérienne a accordé au passager un dédommagement de 1 600 dollars, soit le paiement maximal selon les règlements.

(Source : Business travel Asia)