A 850 kilomètres de Perth – la capitale de l’Etat – ce territoire accueillit les premiers explorateurs d’Australie, dont le navigateur qui lui laissa son nom.

“L’homme d’Etat se distingue à sa capacité de prendre en compte les terres inconnues, une fois le reste exploré.”
François Mitterand

Pour se sentir au bout du monde…

Aucun doute, ce parc national (depuis 2009) mérite bien son inscription au Patrimoine mondial de l’UNESCO. Il mesure environ 80 kilomètres de long, trois à quinze kilomètres de large et a une superficie de 620 kilomètres carrés. On y élève des ovins et le tourisme de niche (écologique) s’y est installé. C’est aussi le fief de tortues vertes et caouannes.

Biodiversité

La découverte de cette terre (la plus proche de l’Europe) a eu lieu en 1616 par le Hollandais Dirk Hartog.
Réputé pour son histoire, sa beauté naturelle, ses paysages spectaculaires et sa pêche, cet éden est un refuge pour la faune en voie de disparition.
Un projet de restauration écologique est en cours, visant à rendre l’île telle qu’il y a 400 ans.

Séjourner

On séjourne à l’Eco Lodge, une retraite rustique d’où les vacanciers peuvent s’évader, découvrir et explorer. Les 6 chambres et la villa privée allient élégance simple, luxe et confort rustiques, offrant une vue imprenable sur l’océan. On peut monter à bord d’un bateau ou emprunter un kayak pour explorer la baie de Homestead. Une visite guidée de l’ancien hangar de tonte permet de découvrir l’histoire pastorale de l’île.

Un décorum cosy

Alternative

Situés sur la côte est de l’île, des terrains de camping dont les installations comprennent une cuisine commune avec barbecue à gaz, un foyer, une aire de préparation des aliments et un évier ainsi que deux salles de bains, chacune avec des toilettes à chasse d’eau et une douche.

L’Eco-lodge

Photos: pichonvoyageur.ch