Confort, calme, vue agréable… Quels sont les sièges à privilégier lors de la réservation ?

« L’avion reste le moyen de transport le plus sûr ! C’est ça oui et pourquoi les aéroports on appelle ça un terminal ? »
Gad Elmaleh

siège d'avion
Le bon choix à la réservation ?

Confort

Au cours d’un vol, de multiples petits désagréments peuvent venir gâcher votre confort : bruit continu issu des moteurs de l’appareil, turbulences et manque de luminosité… Certaines places permettent d’y remédier. En matière de confort, il faut privilégier le premier tiers de l’avion. A l’avant, on entend moins le bruit des moteurs. Au niveau des ailes, c’est-à-dire près du centre de gravité de l’avion, les turbulences se font un peu moins ressentir. N’oublions pas les traditionnels sièges situés à l’avant de chaque classe et ceux situés en face des sorties de secours qui offrent plus de place au niveau des jambes. Mais attention : ils font souvent l’objet d’un supplément.


A éviter

Dans un avion de ligne, qu’importe la taille, vous avez l’embarras du choix. Il est donc tout à fait possible de tomber sur de mauvaises places. En cas de vol long courrier, il est fort probable de voler à bord d’un appareil doté d’un double couloir avec une rangée médiane pouvant aller jusqu’à quatre sièges. Pour ne pas se retrouver au milieu de plusieurs inconnus, les coudes retranchés et privé de la lumière extérieure, mieux vaut à tout prix éviter cette rangée et surtout les deux places du milieu. Même son de cloche pour les places situées à proximité des toilettes : les allées et venues incessantes des passagers souhaitant les utiliser risquent de nuire à votre tranquillité d’esprit.

Sécurité

Enfin, est-il possible d’obtenir un siège plus sécurisant qu’un autre à bord d’un avion ? Il n’existe aucune différence de sécurité entre les sièges. Tout dépend en réalité du type d’incident ou d’accident que peut subir un avion. Mais comme il existe peu d’études à ce sujet, il est difficile de préconiser un placement en particulier. Rappelons que, statistiquement, le moment le plus dangereux lors d’un voyage n’est ni le décollage, ni l’atterrissage, mais… le trajet en taxi !

Source : Figaro