snacks low-cost

Pas très bon pour la santé…et encore moins pour le porte-monnaie

Quand ils prennent un vol low-cost, les passagers doivent s’attendre à payer leurs collations plus cher que la normale. Après tout, la restauration à bord est un service supplémentaire que les compagnies aériennes fournissent, ce qui explique une partie de la différence. Néanmoins, une étude réalisée par le moteur de recherche KAYAK.fr révèle que les prix s’envolent littéralement dans certains cas, avec des snacks vendus jusqu’à 2500 % plus cher que dans les commerces au sol.

Par exemple, Transavia et XL Airways facturent un paquet de chips 587 % plus cher que le même produit en supermarché. Pour un sachet d’olives sur un vol easyJet, la plus-value atteint environ 1733 %, et l’augmentation dépasse les 2500% pour les cacahuètes. Le sucré ne demeure pas en reste.

Quant aux boissons – alcoolisées ou non – leur commerce a de quoi couper la soif de plus d’un voyageur. Le vin peut être surfacturé jusqu’à 1400 %. Une bonne idée : emporter ses propres provisions. En ce qui concerne les boissons, on peut toujours les acheter dans le terminal après avoir franchi la sécurité. Certes, elles ne sont pas données dans les aéroports, mais la marge est moins vertigineuse.