Le tourisme de l’Oberland bernois surfe sur la pandémie. Cet automne, les Suisses (re)découvrent le charme du Simmental.

« Les Mains Sales : Pièce de Sartre qui a été adaptée en Suisse sous le titre L’Emmenthal, ce qui a pour conséquence que les acteurs y ont souvent des trous de mémoire ».
Marc Escayrol / Mots et Grumots

A Lenk, l’automne confère une touche de mystère

A la Réception du Lenkerhof (*****S), on devine un large sourire, même si ce dernier s’abrite avec pudeur derrière l’incontournable masque anti-Covid-19.
C’est que l’hôtel – à l’instar de ses nombreux concurrents d’altitude – est en passe de réaliser l’une de ses meilleures saisons. Pour une nouvelle clientèle qui vise Lenk cet établissement Relais & Châteaux pourrait bien constituer à lui seul le but d’un séjour dans l’Oberland.
Il offre en effet les avantages de la bonne chère et du bien-être avec sa gastronomie et son spa réputés.
En prime : une histoire qui a commencé il y a plus de 350 ans avec un bain public tirant parti des sources locales – riches en éléments naturels -, aujourd’hui réaménagé sur une superficie de 2000 m² .

Un hôtel dans la tradition, doté d’un spa généreux

Une vaste piscine (intérieur / extérieur ) qui fait le bonheur des amateurs de remise en forme.

Le village se situe à 1 068 m. d’altitude, dans l’une des plus belles vallées des Alpes, le Wildstrubel. Les chalets en bois du Simmental ainsi que l’agriculture de montagne et d’alpage sont typiques de la région riche en traditions.

A Lenk, chalet typique et marché au bétail

Des remontées mécaniques modernes (incluses dans la nuitée d’hôtel durant la saison estivale) transportent sur la montagne les randonneurs, les vététistes ou les parapentistes).

Sur les hauteurs de Lenk