La saison estivale reste bouleversée par la Covid-19. Décaler ses vacances en septembre pourrait s’avérer séduisant.

« On n’a jamais autant besoin de vacances que lorsqu’on en revient »
Ann Landers

Les calanques de Piana (Corse)

Certaines destinations et acteurs du tourisme jouent les prolongations. Chaque année, quand vient la rentrée, les enfants reprennent le chemin de l’école. Les familles en vacances cèdent la place aux retraités, étudiants ou couples sans enfants.
Dans le contexte de pandémie, partir en décalage paraît encore plus judicieux que d’ordinaire (pour éviter la foule et réduire le risque de contamination). Par ailleurs, les tarifs sont semblables à ceux d’avril, mai ou juin, les hôteliers jouant les prolongations pour prendre une revanche sur un printemps gâché par le virus ( à condition, bien sûr, qu’une deuxième vague épidémique ne vienne pas jouer les trouble-fêtes…)

Si vous visez la Suisse, des bons plans sont proposés par myswitzerland.

Nos suggestions : les Grisons, évidemment, l’ Engadine, le Tessin, nos lacs, le Mont Pilate ou autres destinations à gagner par des moyens de transport insolites.

Pour celles et ceux qui souhaitent sortir du pays aller trop loin : la Corse – par exemple – vers laquelle l’offre aérienne et maritime devrait être identique à celle de l’année passée. L’Agence du tourisme de l’île de Beauté se dit prête à adapter sa stratégie à tout moment. L’arrière-saison – qui s’étire jusqu’à la fin novembre dans l’île – sera une période charnière.

Parmi les incontournables de l’Ile de Beauté : Calvi, les calanques de Piana (Girolata), Bonifacio

(Source : pichonvoyageur / Le Figaro)